@Korri : J'ai pas encore 50 ans, il me reste encore quelques années avant d'investir...<br />
@Chantal : Je ne suis pas mourant, c'est juste mon 1/4 d'heure de gloire warholien. Là, il reste 30 secondes, j'en profite...<br />
@BBQ : Qu'est-ce que t'es venu ressortir ce truc du fin fond du cyber espace ? D'où ça vient ça d'ailleurs ?...
Berth,rassure-moi,t'es pas mourant,quand même,(de la cigarette?) que tout le monde prépare ou cite des articles dithyrambiques sur toi!!!!C'est louche!!!!!
Comme le dit si bien François Maliet dans sa préface, Berth est un dessinateur dangereux. Dangereux pour ceux qui n'acceptent pas l'humour vache, l'humour grinçant, l'humour à contre-courant, dérangeant, malsain, voire subversif. Mais Berth, derrière ses coups de crayons gras, a la finesse de celui qui voit la société d'un œil attendri. Ses dessins violents nous amènent toujours à nous interroger sur les causes et les conséquences de notre société divisée et intolérante. Dans la grande lignée des gribouilleurs de l'actu (il a bossé ou bosse encore pour l'Echo des Savannes, Fluide Glacial, L'Humanité, Spirou, et dans ses moments de douceur, il travaille pour Mon Quotidien et illustre les catalogues des vacances de la MJC Palente), Berth reste l'un des rares qui ne sait pas fermer sa gueule. Et, même si ça fait mal, qu'est-ce que c'est bon !!!